Organisation familiale – Notre routine de confinement

Dès l’annonce du confinement, je savais que pour bien le vivre, nous devions mettre en place des routines. Des routines qui ne nous changent pas trop de nos précédentes habitudes, des routines qui nous simplifieraient la mise au travail et les temps de transition. Les routines nous permettent à tous de nous simplifier la vie, car tout le monde sait toujours ce qu’il doit faire puisqu’elles ne changent pas ou peu. Elles évitent de s’énerver au moment des transitions, elles favorisent l’autonomie des enfants, elles les rassurent également et leur sert de cadre. 

Nous avons ainsi choisi de ne pas nous lever trop tôt pour garder le rythme sur la longueur, de fixer l’heure du petit-déjeuner pour toute la semaine du lundi au vendredi, de fixer l’heure du début de l’école à la maison, de faire l’école à la maison tous les jours de la semaine du lundi au vendredi, de ne faire du travail formel que le matin, de fixer l’heure du déjeuner avec Papa Lou chaque matin en fonction de ses réunions de télétravail, de prendre le goûter tous ensemble, de ne pas aller se coucher plus tard que d’habitude en semaine.

Et je dois dire que ces routines nous permettent de bien tenir sur la longueur. Nous les avons adopté dès le début du confinement et nous n’avons changé que peu de choses, même suite à la naissance de Petite Panda, car le rythme nous convient vraiment bien.

Chaque matin du lundi au vendredi, mon réveil sonne à 7h. Je me lève vers 7h15, prends ma douche et m’habille. Puis je descends préparer le petit-déjeuner. Papa Lou se lève, s’habille et me rejoint pour m’aider. Petite Panda tète souvent soit avant ma douche, soit juste après que je sois descendu. Ensuite, soit elle se rendort et reste dans notre lit, soit elle est en bas avec nous et commence sa journée avec nous. Little Smiling Buddha se réveille la plupart du temps entre 7h et 7h30, soit il prend sa douche avec moi, soit il descend seul et vient me rejoindre pour préparer le petit-déjeuner.

A 8h, Papa Lou va réveiller Little Miss Sunshine. Et nous prenons le petit-déjeuner tous ensemble. Vers 8h30, Papa Lou commence à bosser sur son téléphone en répondant à ses mails, moi et les enfants nous terminons le petit-déjeuner. Vers 8h45, les enfants montent s’habiller, se brosser les dents et se coiffer en toute autonomie. Papa Lou monte travailler depuis son ordinateur. Je débarrasse la table, prépare les affaires de Little Miss Sunshine pour qu’elle puisse commencer son travail.

Quand les enfants redescendent vers 9h, je lis les instructions du jour de la maîtresse avec Little Miss Sunshine, puis elle commence son travail en autonomie. Little Smiling Buddha joue ou lit la plupart du temps en autonomie à ce moment-là, j’en profite donc pour aller changer Petite Panda.

Quand je redescend, je propose une activité à Little Smiling Buddha. Une activité dure en moyenne une dizaine/quinzaine de minutes avec lui. Je commence toujours par une activité pour laquelle il aura besoin de moi: un jeu de loto avec de la lecture, une nouvelle leçon,… Et laisse les activités qu’il sait faire en autonomie pour la suite. Entre les deux, la plupart du temps, il veut lire en pseudo-autonomie ou s’attaque à un casse-tête, ce qui veut dire que je peux naviguer entre lui et sa soeur pour les aider.

Pendant toute la matinée, Petite Panda est tout contre moi, dans l’écharpe. Je ne la garde pas dans l’écharpe pour cuisiner, je trouve ça trop dangereux. On n’est pas à l’abris d’avoir de l’huile ou de l’eau bouillante qui gicle et je préfère ne pas prendre le risque. A ce moment-là, soit elle accepte d’être dans son transat ou sur la canapé calé dans le coussin d’allaitement, soit Papa Lou n’est pas en réunion et la prend avec lui pendant qu’il travaille.

Vers 11h, je m’attaque donc à la préparation du repas et au rangement de la cuisine – oui, je fais les deux en même temps. On mange généralement vers 12h ou 12h30 en fonction des réunions de télétravail de Papa Lou. Pendant ce temps, en fonction des jours, les enfants jouent librement, lisent ou m’aident à la préparation du repas.

Après le repas, que l’on prend dans le jardin le plus souvent possible, les enfants partent jouer. Je termine de débarrasser la table et de ranger la cuisine. Je prépare également le goûter ou le petit-déjeuner du lendemain en fonction des jours et des besoins. Papa Lou reprend le travail. Si il n’a pas de réunion, il s’installe dehors avec nous.

Durant ce temps, Petite Panda dort le plus souvent dans les bras de Papa Lou ou dans le transat pour sa sieste de début d’après-midi.

Vers 16h, je prépare le goûter que l’on prend tous ensemble. C’est le moment qui nous arrange le plus pour appeler la famille et prendre des nouvelles de tout le monde. Petite Panda est le plus souvent dans mes bras.

Vers 17h30, je commence à préparer pour la routine du soir. Je rentre et je range ce qu’il reste à ranger pour la soirée. Je vide le lave-vaisselle et range la vaisselle. Je termine la préparation des goûters et petits-déjeuners suivant si nécessaire. Je commence à préparer le dîner si nécessaire. Papa Lou va prendre son bain et les enfants le suivent dans le bain. Je les rejoins dans la salle de bain pour papoter, les aider, mais aussi pour préparer la nuit – je vérifie notamment que j’ai tout ce qu’il faut autour de la table à langer si il me serait nécessaire de changer Petite Panda durant la nuit. J’ouvre ou je ferme les fenêtres en fonction de la température.  J’imprime le travail de Little Miss Sunshine pour le lendemain.

Vers 18h30, Papa Lou prend le relai pour terminer de préparer le dîner et l’apéro. Je prépare la table pour le petit-déjeuner et celle pour le dîner (on mange le plus souvent à la table basse). A partir de cette heure-ci, Petite Panda ne veut plus quitter les bras, elle passe donc de bras en bras en fonction de la disponibilité de chacun, jusqu’au coucher.

Vers 19h, on prend l’apéro, puis on dîne. Le plus souvent, on met quelque chose à la télévision durant ce temps: un dessin animé comme Il était une fois, un documentaire comme C’est pas sorcier, une émission culinaire, parfois quelques épisodes de Kaamelot.

Vers 20h30, je termine de ranger la cuisine, je laisse Petite Panda à Papa Lou et je monte me préparer pour aller me coucher. Dès que je suis prête, je fais monter Little Smiling Buddha et Little Miss Sunshine pour qu’ils se préparent à aller se coucher. Papa Lou monte préparer Petite Panda pour le coucher et elle nous rejoint au lit. Un peu avant 21h, soit je leur lis une histoire, soit ils lisent chacun une histoire dans leur lit.

Vers 21h15, j’éteins la lumière. Papa Lou est redescendu pour fermer les volets et regarder un film ou une série. Little Miss Sunshine peut lire jusqu’à 22h – mais elle éteint souvent avant. Little Smiling Buddha s’endort très rapidement. Petite Panda tète et s’endort en général avant 22h et moi je lis sur ma tablette en attendant que tout mon petit monde s’endorme. Papa Lou vient généralement nous rejoint vers minuit alors que je dors déja depuis longtemps…

On a aussi de petites routines qui se mettent progressivement en place sur la semaine:

  • le lundi matin à 8h, on essaie de sortir faire une promenade – la seule sortie de la semaine – pour aérer l’esprit de tout le monde et bien commencer la semaine.
  • le mercredi matin, l’école à la maison est moins formel, on ne fait que des activités dont ils ont envie et que je leur prépare à l’avance.
  • le jeudi matin, au petit déjeuner on prépare la liste des repas de la semaine suivante. Je fais la liste des courses en fonction des repas et des manques. Papa Lou part faire les courses vers 15h/15h30, car il a remarqué que c’est l’horaire où il y a le moins de monde dans les magasins.
  • Samedi matin, on se prend une bonne heure pour faire le ménage en famille.

Et vous, avez-vous instauré une nouvelle routine avec le confinement?

Recette – Gingembre lacto-fermenté

Vous avez été nombreux sur Instagram à me demander la recette du gingembre lacto-fermenté dont j’ai parlé en story. Je vous propose donc de vous partager la recette ici sur le blog.

Je vous conseille quand même de vous renseigner un peu sur la lacto-fermentation avant de vous lancer. C’est une réaction de fermentation non alcoolique, il faut évidement respecter certaines règles d’hygiène pour que ça fonctionne et que le mélange soit consommable.

C’est un premier essai pour nous, je complèterai donc la recette au fil de nos expérimentations.

Pour une première lacto-fermentation, il vous faudra:

  • un gros morceau de gingembre (de la taille d’une main au moins)
  • de l’eau 
  • du sel 

Et c’est tout! Facile non? 

Commencez par couper le gingembre comme vous le désirer. Si c’est pour croquer à l’apéro ou avec des plats japonais, faites-le très fin, à la mandoline. Si c’est pour utiliser dans des plats cuits, vous pouvez faire des cubes ou des rectangles plus grands, que vous pourrez couper plus finement au moment de faire votre plat, en fonction de vos envies.

Ensuite placer votre gingembre dans un récipient pour la fermentation. Nous avons utilisé une ancienne bouteille de jus de fruits en verre, ce qui a très bien fonctionné. Il faut bien tasser le gingembre dans la bouteille, c’est très important pour la fermentation.

A ce stade, si vous le désirez, vous pouvez ajouter des épices.

Ensuite, il faut ajouter l’eau salé nécessaire pour remplir la bouteille, jusqu’à 2/3cm du bord (pour éviter que ça ne déborde au moment de la fermentation). Il faudra calculer le sel nécessaire à votre saumure, sachant qu’il faut 40g de sel pour un litre d’eau pour le gingembre.

Remplir la bouteille avec la saumure et la fermer. Placer dans un endroit à température ambiante. Ne pas oublier de secouer la bouteille deux fois par jour. 

Laisser fermenter votre gingembre d’une semaine à un mois en fonction du goût recherché: le mieux est de goûter régulièrement!

Le jour où vous avez vidé votre gingembre, ne jetez surtout pas la saumure. Vous pouvez la réutiliser plusieurs fois pour votre lacto-fermentation suivante. Utiliser une saumure déja prête a le don de concentrer les goûts et d’accélérer le début de la fermentation.

Tenez moi au courant si vous testez! 

DIY – Savon au lait maternel

Lorsque j’ai parlé de notre réalisation de savon au lait maternel sur Instagram, vous avez été nombreux à me demander notre recette. Je vais donc vous parlez de la réalisation de savons maison dans cet article.
Ce n’est vraiment pas compliqué de réaliser son propre savon, mais comme il s’agit tout de même d’une réaction chimique avec la soude, qui peut être dangereuse si elle n’est pas maîtrisé, je vous conseille de bien vous renseigner sur le sujet auparavant et de bien vous protéger (gants, protection pour les yeux, matériel qui touche la soude à usage uniquement de la préparation de savon) au moment où vous le réalisez. Je ne donnerai ici aucune recette exacte, car il me semble important que vous prépariez votre propre recette parce que nous n’avons pas tous le même type de peau, mais également parce que je n’ai rien d’une experte en la matière, car les dosages sont vraiment importants et que vous trouverez tous les détails sur des sites de calculs spécifiques pour faire du savon.
Pour les ingrédients, il vous faudra:
  • de la soude caustique
  • de l’eau 
  • du lait maternel (à titre indicatif, une quinzaine de centilitres suffisent pour un pain de savon de 900g environ)
  • des huiles en fonction de vos envies et de vos besoins 
Pour commencer, c’est l’étape la plus délicate: celle du mélange de la soude et de l’eau. Une réaction chimique est créé qui provoque beaucoup de chaleur et qui peut vous brûler. Personnellement, nous mettons un glaçon pour refroidir l’eau et éviter ainsi que la température ne s’envole. On arrive ainsi à éviter de dépasser les 70 degrés. Surveiller la température de l’eau avec une sonde (qui ne sera utilisée que pour faire du savon puisqu’elle est en contacte avec la soude). Si vous ajoutez du lait maternel, il faut mettre cette même quantité d’eau en moins (dans notre cas, 15cl d’eau en moins) et quand la réaction entre l’eau et la soude a refroidi un peu, y ajouter le lait maternel.
Ensuite, on prépare le mélange d’huiles que l’on a choisi en fonction de ce dont on a besoin: savon surgras, savon très dur… et on les fait légèrement chauffer (<30 degrés) pour faire fondre les huiles qui sont la plupart du temps solides. Personnellement, nous avons utilisé notamment du beurre de cacao, de l’huile d’olive, de l’huile de coco,… 
Enfin, on verse la soude + eau + lait maternel dans les huiles et on mélange vivement. On peut utiliser un vieux mixeur-plongeur que l’on gardera uniquement pour cet usage, pour vraiment bien mélanger et aller plus vite, jusqu’à ce que la trace apparaisse. La trace, c’est simplement le fait de bien voir apparaître la trace du mixeur ou de la cuillère en bois dans le mélange.
À ce moment là -l’apparition de la trace -, c’est le moment d’ajouter des huiles essentielles ou du colorant ou encore des fleurs séchées ou de l’argile si vous en avez envie. Personnellement, nous ne l’avons jamais fait.
Enfin, il faut verser le savon dans un moule. On peut acheter des moules spécifiques pour le savon, mais on peut aussi utiliser un vieux moule à gâteau ou des petits moules à mini-muffins qu’on destinera à cet usage, par exemple. Les moules en silicone fonctionnent très bien, car on peut bien en sortir le savon. Il ne reste plus qu’à mettre le moule à sécher dans un endroit frais et sec pour deux jours.  
Au bout de deux jours, le savon est déja sec mais pas complètement. C’est le moment de le couper en pain à la taille souhaitée ou de démouler les mini-savons.
C’est aussi le moment de graver un message sur les savons, si vous en avez envie.
Pour finir, le savon doit sécher sur une planche en bois pendant un mois dans un endroit frais et sec. Le mieux pour les premières fois est d’acheter des languettes pour tester le PH de vos savons, ça vous permettra de vous rassurer et d’être sûr que toute la soude a bien disparu au moment de l’utiliser.
Afin de vous aider dans le choix de vos huiles, je vous conseille de trouver un site qui décrit bien les spécificités de chaque huile.
Pour le grammage exact, je vous conseille le site soapcalc.net. Il est très précis et vous donnera les quantités exactes pour chaque ingrédients – chaque huile choisie, la soude, l’eau – en fonction de la recette que vous aurez créé.
N’hésitez pas à me laisser un commentaire si vous testez les savons maison! 

Activité – Les disques des multiplications

Voilà bien longtemps que j’avais repéré cette jolie manière de réviser ses tables de multiplications. Je l’avais découverte en vidéos sur YouTube il y a quelques années et je m’étais promis de la proposer à mes enfants quand le temps serait venu. Finalement, j’ai complètement oublié cette méthode au moment de l’apprentissage des tables de multiplication par Little Miss Sunshine, notamment parce que nous avions investi dans les tables de multiplication en bois et qu’elle avait beaucoup apprécié. Pour les premières révisions des tables, nous avons utilisé le jeu Multip’hôtel du site Apprendre par le jeu que je trouve vraiment très chouette, notamment parce que ce n’est pas celui qui connaît le mieux ses tables qui gagne et que c’est d’autant plus motivant pour ma Little Miss Sunshine.

Et puis, il y a quelques semaines, j’y ai repensé. Elle terminait justement l’apprentissage de la table de 9 et devait réviser toutes les tables. Je me suis dit que c’est le moment idéal pour tester.

J’ai donc rassemblé le matériel que j’avais sous la main pour réaliser les disques de multiplication:

  • un sous-plat en liège,  où j’ai enfoncé 10 épingles colorées et du fil. 

J’ai présenté l’activité à Little Miss Sunshine un mercredi matin. Et elle a tout de suite été emballé. Pour lui expliquer le principe de l’activité, j’ai réalisé la table de 2 – qu’elle connait par coeur – moi-même. 

J’ai commencé par écrire les résultats de la table de 2 sur une feuille à côté du cercle. J’ai dit à haute voix ce que je faisais: « 0x2=0, 1×2=2, 2×2=4… » Ensuite, j’ai pris un crayon de couleur et j’ai entouré les unités. Je lui ai expliqué que  c’est les unités que nous allions retenir pour placer le fil sur le disque. J’ai pris le fil en main et j’ai redis ma table de 2, en entourant à chaque fois l’épingle de l’unité correspondante avec le fil.

Voici donc le résultat avec la table de 2: un joli polygone.

Elle a poursuivit, comme je lui avais montré: en écrivant d’abord les résultats de la table de multiplication, puis en entourant les unités pour mieux se repérer et enfin en traçant la forme à l’aide du fil, en répétant une dernière fois la comptine de la multiplication. Elle a fait les tables les unes après les autres. Elle a donc continué avec la table de 3.

Cette fois-ci, c’est une jolie étoile qui est apparue sous ses yeux émerveillés…

Et puis, la table de 4

… qui a laissé apparaître une autre étoile.

Et la table de 5… 

qui l’a surpris avec son va-et-vient entre 0 et 5.

Et la table de 6…

dont nous avons noté la ressemblance avec l’étoile de la table de 4.

Et la table de 7

… dont nous avons trouvé l’étoile absolument superbe.

Et la table de 8

… a laissé apparaître un beau polygone, identique à celui de la table de 2.

Et la table de 9

… qui fait un cercle qui relie tous les points.

L’activité lui a beaucoup plu et l’a motivé jusqu’au bout. Elle a ainsi révisé efficacement ses tables en jouant et sans s’en rendre compte. Elle a d’ailleurs repris le « jeu » d’elle-même plusieurs fois dans les jours qui ont suivi.

Une belle idée pour apporter un aspect ludique aux tables de multiplication. J’aime particulièrement le fait qu’on allie l’utilisation de ses mains et de sa tête, une combinaison souvent gagnante.

Et vous, des astuces pour rendre l’apprentissage des tables de multiplication moins rébarbatif?  

Bienvenue Petite Panda

Toute la famille Kangourou est très heureuse de vous annoncer la naissance de Petite Panda à la toute fin du mois de mars 2020.

Le contexte a été difficile à vivre en fin de grossesse. Si vous nous suivez sur Instagram, vous savez à quel point il a été angoissant pour nous de devoir changer plusieurs fois de mode de garde pour nos deux plus grands enfants au moment de l’accouchement, de ne pas savoir si Papa Lou allait ou non pouvoir me soutenir durant l’accouchement, de voir la filière physiologique où j’avais choisi d’accoucher fermer trois jours avant mon accouchement car les sages-femmes avaient été réquisitionnés…

Finalement, nous avons fait jouer la solidarité pour la garde des enfants et c’est un collègue de travail de Papa Lou qui s’est occupé d’eux durant quelques heures, Papa Lou a eu la chance de pouvoir me soutenir pour l’accouchement et même de rester trois heures après l’accouchement dans la salle d’accouchement avec moi et le bébé, et la sage-femme de la maternité, même si elle ne faisait pas partie de l’équipe de la filière physiologique, a totalement respecté mon choix d’accouchement physiologique et m’a même encouragé dans les moment de doute (ah! la phase de désespérance…) Nous avons donc eu beaucoup de chance et notre organisation a fini par payer…

Je vous ferai certainement un récit de mon accouchement durant le confinement à l’occasion, en attendant, je retourne pouponner!