Nos cadeaux de Noël minimalistes

Depuis quelques années, nous essayons de réduire au maximum le nombre de jouets / de cadeaux reçus par les enfants et offerts à Noël (et aux autres fêtes d’ailleurs également). Nous n’avons aucune envie d’entrer dans la surconsommation de cette période et d’apprendre ce gâchis à nos enfants et nous voulons plutôt qu’ils gardent en tête la magie de faire et d’offrir et les beaux moments en famille.

Tout a commencé avec la naissance de Little Miss Sunshine. Nous vivions alors dans 39m2 à trois, avec une seule chambre et une pièce à vivre. Autant dire que nous sommes restés minimalistes dans nos achats en puériculture et jouets pour bébé et que nous avons demandé à nos familles de respecter ce choix, sous peine de ne plus pouvoir nous retourner dans notre appartement. Même si avec le recul, nous avions trop de choses…

Et puis nous sommes partis vivre en Chine, à Shanghai. Dans un appartement d’un peu plus de 150m2, nous n’avions pas le même problème, mais nous n’avons emmené que quelques affaires auxquelles nous tenions particulièrement et quelques habits (un conteneur par avion de moins de 150kg pour trois personnes) et nous avons apprécié ce minimalisme auquel nous avons réussi à nous tenir durant plusieurs années. Nous avons évidement dû acheter quelques meubles pour ce nouvel appartement, mais il était en grande partie déja meublé. A Noël, nous emmenions une valise vide en France que nous remplissions avec les cadeaux de Noël des enfants pour le retour à Shanghai, mais pas plus. 

Et puis il y a quatre ans environ, nous avons commencé à faire de plus en plus régulièrement nos cadeaux de Noël nous-même pour les offrir à la famille. Nous trouvons que le geste est d’autant plus fort que c’est quelque chose qui est vraiment fait / créé pour quelqu’un en particulier, il ne s’agit pas juste de rentrer dans un magasin et de prendre la première carte cadeau, ou la première paire de gants que l’on trouve en se sentant soulagé d’avoir trouvé quelque chose (oui, c’est comme ça que je le ressens, comme une obligation stressante)

Cette année, nous avons été fiers de réaliser tous nos cadeaux pour la famille nous-même, dans une logique zéro déchet et de participation familiale.

Il faut avouer que Papa Lou a réalisé la grande partie des cadeaux, avec mon aide et celle des enfants. Il a préparé de la bière de Noël maison et de la bière avec du houblon récolté dans le jardin de Papapa. Il a également préparé une liqueur de prunelles. Il est d’ailleurs allé récolter les prunelles sur les bords de l’Oise avec les enfants.

Nous avons également préparé des savons maison au miel et à la cire d’abeilles, en pain et en petits kougelhopfs « pour les invités ».

A l’école, les enfants ont fait un dessin qui a été reporté sur un torchon en coton bio, et nous les avons acheté au marché de Noël de notre petite commune pour les offrir également aux grands-parents.

Pour ma part, j’ai réalisé du sucre vanillé, parce que dans la famille tout le monde aime faire de la pâtisserie et que c’est très simple à faire et à entretenir. J’ai fait le mien il y a un peu plus de cinq ans maintenant et je l’utilise toujours.

Enfin, seul cadeau vraiment non zéro déchet, notre traditionnel calendrier de l’année avec des photos de nous et des enfants. C’est quelque chose que nous faisons depuis la naissance de Little Miss Sunshine et que nous apprécions tous beaucoup. Il trône d’ailleurs chaque année dans les cuisines de tous les membres de la famille.

Les enfants ont réalisé des étiquettes avec la peinture et des tampons naturels (feuille de lierre, badiane, …) et Little Miss Sunshine a écrit sur les étiquettes.

Nous avons choisi de présenter le tout dans un petit cageot récupéré au magasin bio lors de nos courses hebdomadaires. Donc aucun emballage cadeau n’a été nécessaire.

Pour notre part, nous avons choisi de nous offrir un cadeau dématérialisé familial: une place pour chacun d’entre nous au spectacle Shen Yun qui aura lieu à Paris au mois de mai. Il s’agit d’artistes chinois qui viennent faire une tournée en France et nous nous sommes dit que ça nous rappellerait de beaux souvenirs. C’est un cadeau que nous offrons d’ailleurs également à Petit Panda, qui sera déja parmi nous depuis quelques semaines à cette date.

Et un cadeau nécessaire et utile pour chacun d’entre nous. Quelque chose dont nous avons besoin, que nous achèterions de toute façon ET qui nous fait vraiment plaisir.

Little Miss Sunshine a choisi une paire de bottes El Naturalista. C’est une marque éco-responsable que nous achetons depuis plus d’une dizaine d’années. A l’époque j’avais craqué sur leur style, et depuis que je connais leur éthique, je ne porte plus que cette marque (et des Birkenstock pour l’été, j’avoue) .

Little Smiling Buddha avait besoin de pantalons. Il ne supporte pas les pantalons que l’on trouve dans les grandes enseignes en France, trop étroits à son goût. Nous les achetions jusqu’à présent uniquement en Chine. Nous avons testé autre chose, qu’il semble également apprécier: les sarouels. J’ai craqué sur deux très jolis sarouels de la boutique instagram Les petites menottes . Avec les très jolis motifs, et les belles finissions, il a été aux anges en les voyant.

Petit Panda a également reçu un cadeau. C’est une tradition pour chacun de nos enfants, Papa Lou leur offre une bola vers le 4/5ème mois de grossesse. Cette fois-ci, nous avons découvert les superbes bola en bois de Nativee et nous avons craqué.

J’ai offert trois paires de chaussettes à Papa Lou qui aime par-dessus tout les chaussettes de la marque Mes chaussettes rouges

Et j’ai reçu de Papa Lou un agenda My365 pour l’année 2020. C’est la troisième année que je l’utilise et je les aime beaucoup. Je ne pensais pas en avoir besoin cette année, et je ne l’ai donc pas acheté en septembre comme je le fais habituellement, mais force est de constater qu’enceinte ma mémoire me fait défaut. C’est donc avec plaisir qu’il m’a offert cet agenda 100% made in France et écologique.

Nous avons glissé chacun de nos cadeaux dans de jolis hottes en lin achetées cette année. Chacun à la sienne et nous les ressortirons dorénavant chaque année pour ne plus utiliser de papiers cadeaux. Et c’est Little Smiling Buddha qui a réalisé les étiquettes avec le nom de chacun.

Ce sont des petits pas. Mais je ne suis pas peu fière de les avoir réalisé. On a vraiment été en accord avec nos principes, on est allé au bout de nos idées et ça, ça fait du bien!

Evidemment on peut toujours faire mieux, plus minimaliste, plus zéro déchet. Mais je suis vraiment fière de ses efforts de la part de toute la famille, y compris des enfants. Suite à notre discussion sur la surconsommation de Noël, les enfants n’ont d’ailleurs demandé aucun jouet à la famille (ils ont privilégié des cadeaux immatériels: abonnement à La Petite Salamandre, abonnement à Epopia, atelier de confection d’un parfum… même s’il y a eu des Légos et un déguisement pour Little Smiling Buddha notamment) et Little Miss Sunshine, qui est née le 31 décembre, m’a spontanément réclamé un cadeau d’anniversaire fait main – une maison en carton pour ses Sylvanian Family.

Et vous, les cadeaux de Noël, vous en êtes où? Vous essayez de limiter ou pas? 

[Défi] Réduire notre impact sur le climat #2

Je continue donc le défi On est prêt avec beaucoup de plaisir et en espérant trouver de nouvelles idées à mettre en place pour réduire notre impact sur l’environnement. Les cinq premiers défi à remplir sont là-bas. C’est parti pour les sept défis de cette semaine!

Défi 5: J’éteins la veille de mes appareils

Je dois bien avouer que je suis mauvaise à ce défi. Nous coupons l’électricité de tous les appareils lorsque nous partons en vacances, mais c’est assez rare en dehors de ça. La télévision, les ordinateurs et les chargeurs de téléphones portables en particulier sont branchés en continu. Les chargeurs des téléphones étant sur une rallonge, j’ai pris l’habitude de l’éteindre depuis quelques soirs. Je vais changer la prise de la télévision également pour que je puisse facilement éteindre la multi-prise le soir. C’est un réflexe à prendre, mais ça vaut le coup!

Défi 6: Je colle un stop pub sur ma boite aux lettres

Nous vivons dans un immeuble en Chine, et je dois bien dire que c’est extrêmement rare de trouver de la publicité dans notre boîte aux lettres. Evidement, le lendemain de ce défi, il y avait pour la première fois depuis des mois, un magazine et un papier de pub dans ma boite aux lettres! Ca fait bien longtemps que je refuse systématiquement les publicités que l’on distribue dans la rue.

Défi 7: Je fais du tri sélectif et du lombricompost

Vivant en Chine, c’est déja difficile de faire du tri. En effet, ce n’est pas à notre niveau que ça se passe, mais une fois que les poubelles sont sorties en vrac que des gens se pressent pour les trier, notamment le carton, le polystyrène et le matériel informatique. J’ai d’ailleurs fait une vidéo à ce sujet sur IGTV. J’essaie déja de faire comprendre à Ayi de ne pas tout mettre systématiquement dans le même sac poubelle, de descendre le carton à part… Bref, ça ne date que de 2010 que les poubelles soient mises dans des sacs en plastiques et non pas simplement jetés dans la rue en Chine, donc on est encore loin du compte. Mais Shanghai est entrain d’entrer dans une phase plus importante de tri et car elle se veut la première ville de Chine a pratiquer vraiment le tri sélectif!

Je sais que le lombricompost existe à Shanghai, grâce à un groupe d’expats qui l’a mis en place. Mais je ne vois pas ce qu’on fait du compost ainsi obtenu dans une ville où l’on vit dans des appartements et qu’on a aucun moyen de l’utiliser.  Qu’en fait-on par la suite? Je suis par contre convaincu que si nous habitions en France et avions notre jardin, nous aurions déja sauté le pas!

Défi 8: Je cuisine un bon plat avec mes restes

C’est quelque chose que nous faisons systématiquement. C’est assez rare que l’on jette de la nourriture. Toute la cuisine chinoise que nous ne terminons pas est mangée les soirs par Ayi, qui mange chez nous tous les soirs, mais seulement deux fois par semaine avec nous – elle part avant le dîner. Les restes des plats que je prépare sont congelés et réutilisés. Vous pouvez d’ailleurs souvent voir passer nos recettes de restes dans nos menus de la semaine.

Défi 9: Aujourd’hui, je n’achète rien de neuf

Ceci n’était pas un défi difficile. Nous achetons rarement des biens matériels. Nos achats se cantonnent essentiellement à l’alimentaire. C’est rare que nous nous offrons autre chose.

Ce que nous achetons le plus en dehors de l’alimentation, c’est le thé et les ustensiles pour boire le thé. Mais ce sont principalement des achats en direct du producteur ou du potier, pour valoriser au maximum le savoir-faire de ces personnes, ou l’achat d’antiquité et donc de seconde main.

Depuis que nous vivons en Chine, l’autre poste d’achat régulier, c’est le matériel pédagogique ou le matériel pour fabriquer du matériel pédagogique. Je ne me limite que peu pour cela. Mais j’utilise tout mon matériel au moins deux fois, pour Little Miss Sunshine puis Little Smiling Buddha et je garde le tout pour notre futur troisième bébé.

Enfin, nous ne nous limitons que peu dans l’achat de livres. C’est quelque chose qui nous procure à tous un grand plaisir… Mais nous n’en achetons qu’à l’été et à Noël pour nos retours en France, le plus souvent c’est un mélange de livres d’occasion et de livres neufs.

Défi 10: Je consomme des légumes bio, locaux et de saison.

Encore un défi pas évident en Chine. Le bio n’existe quasiment pas et le peu qui existe est souvent à un prix exorbitant. Nous avons certains produits de base que nous trouvons et que nous nous efforçons d’acheter systématiquement bio: la farine, le riz, le lait. Pour le reste, c’est plus compliqué. J’achète de temps à autre des légumes bio quand l’occasion se présente.

Par contre, nous nous efforçons de manger de saison, même ici. Les saisons ici sont différentes et plus étendues de celles que nous connaissons en Europe, et ce n’est pas toujours facile de s’y retrouver, mais Ayi ne cuisine que de saison. Pour le local, si on achète sur les marchés chinois, c’est le cas la majeure partie du temps. Si on achète en grande surface, c’est plus difficile à savoir et moins souvent le cas… On fait un mélange des deux: marché chinois et donc local, et grande surface pour des produits plus « contrôlé » ou « bio ».

Défi 11: Je prévois un cadeau maison ou d’occasion pour Noël.

Depuis, plusieurs années, nous glissons un cadeau fait-main dans nos cadeaux de Noël et nous limitons au maximum les achats à cette période – surtout pour nous et nos enfants. Ce n’est pas forcément évident, mais nous faisons chaque année des petits pas supplémentaires. L’an dernier nous avons ainsi construit notre sapin de Noël en bois; dont nous sommes très très fiers! Par contre, je n’ai pas le réflexe d’acheter en seconde main pour les jouets ou les cadeaux en tout cas, je n’arrive pas à sauter le pas, mais je le fais très régulièrement pour les livres.

Nous avons encore de grands efforts à fournir, mais petits à petits, on avance…

C’est parti pour une nouvelle semaine de défi. Alors, vous êtes prêts? 

[Défi] Réduire notre impact sur le climat

Depuis le 15 novembre, je participe au défi de On est prêt. Ce défi nous permet chaque jour durant un mois – jusqu’au 15 décembre – de mener des actions simples et de prendre des décisions et des bonnes habitudes à plus long terme pour réduire notre impact sur l’environnement.

Dans la famille Kangourou, on n’en parle pas beaucoup, mais à notre échelle, depuis la naissance de Little Miss Sunshine – il y a 7 ans – nous faisons notre part de colibri. D’année en année un peu plus.

Nous avons commencé par prendre conscience de l’impact des produits chimiques sur notre corps, durant ma grossesse et ensuite avec l’eczéma de Little Miss Sunshine que nous n’avons réussi à soigner qu’en utilisant uniquement des produits naturels et plus aucun produit chimique dans notre vie de tous les jours – savon, shampoing, lessive, couches,… J’avais écrit un article à ce sujet juste avant de quitter la France.

Ensuite, à travers notre alimentation à partir de la diversification de notre grande. Quand nous vivions à Paris, nous nous efforcions de consommer local le plus souvent, d’acheter chez des commerçants de proximité autant que possible et de consommer bio quand c’était possible. Nous avons fini par n’utiliser les grandes surfaces que pour acheter des produits tels que le papier toilette. 

Depuis que nous sommes en Chine, notre consommation de produits bio à largement chuté. Difficile de manger bio ici. Ce sont des produits qui n’existent quasiment pas. Mais quand nous en trouvons, c’est ce que nous privilégions, notamment pour les produits les plus consommer lait – mais le lait venant d’Europe l’impact écologique pose également question -, farine, riz, … Dans un même temps, nous préparons tout nos plats maison et nous n’achetons plus aucun « produit fini » ou alors à de très rares occasions.

Nous avons réussi à maintenir notre non-consommation de produits chimiques en continuant d’acheter nos produits naturels essentiels – savon, shampoing et dentifrice – en France et en faisant des stocks que nous emmenons dans les valises. Sauf pour la lessive. J’avais dans l’idée de faire des produits moi-même, mais même si on a accès à une partie du catalogue d’aroma-zone par exemple en Chine, je n’ai pas encore trouvé tout le nécessaire.

Par contre, nous avons pris conscience de l’importance des déchets que nous générons. Dans un pays qui ne se met que tout doucement au tri, l’impact est énorme et la difficulté de réduire nos déchets énorme. Nous essayons de réutiliser un maximum de choses – carton, papier,… -, de privilégier les produits en bocaux de verre si nous devons faire un choix, d’acheter des recharges quand elles existent – ce qui est vraiment exceptionnellement rare ici -, et puis nous avons pris quelques habitudes: les sacs réutilisables – pas automatiques ici – les gourdes en inox et en verre, nous avons une consommation raisonnée – pas d’achats impulsifs, on réfléchi toujours à son utilisation effective. Bref, on essaie de faire des petits pas, progressivement… 

Alors je me suis dit que ce défi pouvait nous aider encore un peu dans notre démarche. Et jusqu’à présent je suis plutôt contente de constater que les premiers défis sont des choses que nous faisons depuis longtemps… sauf le premier!

Défi 1: Je supprime mes vieux mails

Je suis vraiment très mauvaise à ce jeu. Il faut savoir que ma boite mail est une boite gmail que je n’ai jamais changé car je la trouve extrèmement pratique mais qu’en Chine, gmail est inaccessible. Donc je dois utiliser un VPN pour accéder à mes mails. Ce que je fais tous les jours, mais autant j’arrive à consulter et répondre à mes mails, autant je n’ai ni la patience – de recharger dix fois le VPN – ni le réflexe d’effacer mes anciens mails. Je le fais tout de même une fois par an à l’été quand je suis en France habituellement. J’ai réussi en quelques jours à passer de plus de 1500 mails à moins de 500. C’est déja une bonne chose et je vais continuer sur cette voie.

J’en ai profité pour effacer tous mes anciens messages sur mon téléphone et faire le tri dans mes contacts également. Je vais faire la même chose dans les jours à venir sur les réseaux sociaux 😉

Défi 2: Je m’équipe d’une gourde en inox

Depuis que nous vivons en Chine les enfants ont leur gourde en inox et nous notre gourde en verre. Nous ne consommons jamais de café à emporter et exceptionnellement un thé à emporter – peut être deux fois par an. Mais nous avons pris l’habitude de le faire pour l’eau des enfants et pour notre thé que nous préparons à la maison avant de partir.

Défi 3: Je me déplace sans mon véhicule et je favorise la marche à pied, le vélo ou les transports en commun.

Nous n’avons pas de voiture en Chine. Nous utilisons le taxi une fois par semaine pour nous rendre dans un quartier plus éloigner du nôtre dans la petite maison de thé de nos amis et pour faire nos courses – le quartier est le même. Je me déplace à quasi 100% en vélo si je suis seule ou avec un seul enfant. Je me déplace le plus souvent en bus ou en métro si j’ai les deux enfants avec moi. Papa Lou se déplace à vélo ou en transport au commun pour se rendre quotidiennement au travail.

Défi 4: Je tri mes habits et je fais que ceux qui sont inutilisés soient ré-utilisés ou recyclés. 

Je trie les habits à chaque changement de saison. Nous en achetons très peu. Ceux des enfants sont offert par les grands-parents à quasiment 100%, je complète quand quelque chose nous manque avec le strict nécessaire. Pour moi, j’achète quelques vêtements lors de mes retours en France – souvent un ou deux pantalons et quelques hauts ainsi que des t-shirt originaux sur Redbubble – rien d’écologique mais le fait d’avoir de jolis décors d’artistes divers et variés me plait énormément – et puis sinon je complète avec le strict nécessaire en Chine. Papa Lou fait faire ses costumes et chemises pour le travail sur mesure ici en Chine au compte goutte quand c’est nécessaire et achète quelques T-shirt comme moi sur Redbubble chaque année et quelques jean’s ou short en France.

Lorsque le tri est fait, je donne à Ayi qui envoie la plupart de nos vêtements dans le Sichuan pour les offrir à sa famille ou à des amis. Si il me reste des vêtements, je les donne à des associations de temps à autre quand il y a des collectes. Quand les vêtements sont abîmés nous les utilisons pour bricoler. C’est vraiment rare que nous jetions des habits.

Je vais continuer ce défi avec grand intérêt. J’espère en tirer de nouvelles habitudes plus responsble…

Et vous, êtes-vous prêt à rejoindre ce défi?