Nous voilà déjà de retour à Paris.
Les fêtes de Noël auront été courtes pour nous, cette année.
Pour la première fois, nous avons passé la veille de Noël juste tous les deux. Nous nous sommes préparés un petit dîner gourmand: des bouchées de boudins blancs aux pommes, du fois gras, des escalopes de dinde fourrées aux marrons et aux pommes et pour terminer des muffins à la banane, à la cannelle et aux pépites de chocolat. Pour se mettre dans l’ambiance, après le dîner, nous avons regardé un dessin animé de saison: Le pôle express.
Le jour de Noël, nous nous sommes levés très tôt pour prendre le train pour Colmar. Mais arrivés à Strasbourg, comme depuis plusieurs semaines les chauffeurs de TER sont en grève en Alsace, nous avons eu de la chance de trouver un train qui nous a finalement amené a Mulhouse. D’autant que la grève du 25 décembre n’était pas prévu. Je pense que l’esprit de Noël y a été pour quelque chose puisque finalement tout s’est bien passé. Les parents d’Arnaud sont venus nous chercher à la gare de Mulhouse pour nous souhaiter un joyeux Noël et prendre un petit déjeuner à quatre avant de nous emmener chez mes parents. Nous avons passé le reste de la journée avec toute ma famille maternelle chez ma tante.
Le lendemain, une de mes meilleures amies, qui vit habituellement en Colombie, est passée nous voir chez mes parents. J’ai été très heureuse de la voir et d’apprendre qu’elle devrait passer nous rendre visite à Paris lors d’un de ses déplacements au mois de mars. Nous avons ensuite rejoint les parents d’Arnaud pour le repas de midi. Dans l’après midi, nous avons rendu visite à son grand père qui est actuellement à l’hôpital. Nous avons eu la chance d’y croiser une grande partie de sa famille maternelle.
Dimanche fut déjà le dernier jour de notre court séjour. Dans la matinée, nous sommes passés voir la famille paternelle d’Arnaud. Et puis dans l’après midi, nous sommes retournés chez mes parents afin de fêter Noël avec ma famille paternelle.
Les journées ont été très remplies. Mais au final, je suis très contente de notre séjour alsacien. Malgré le peu de temps que nous y avons passé, nous avons vu la très grande majorité de nos familles, ce qui est plutôt rare.
Noël aura été une période plutôt fatigante, mais il n’empêche que je suis ravie!
Joyeux Noël
La course qui précède Noël
Depuis une semaine, je suis très enrhumée. Je me suis refroidit lors des grosses livraisons que nous recevons ces derniers temps à la boutique et que nous défaisons et rangeons sous la neige, le grésille et dans le froid.
La période de Noël est toujours une grosse période dans le commerce, voilà déjà deux ans que je l’expérimente. La semaine a donc été très fatigante et n’est pas encore terminée.
De plus, avec la chance que j’ai, il y a eu de gros problèmes avec les métros sur ma ligne et j’ai très souvent fini par marcher dans la neige, les pieds trempés, jusque chez moi ou au travail.
Et pour couronner le tout, je me suis coincée le dos hier.
Je me demande dans quel état je vais arriver à Noël!
Moi qui aime tant cette période, je n’ai pas l’impression de vraiment en profiter cette année. Il me restera le 24 pour entrer dans l’esprit de Noël…
Il neige!
Cette fois, il neige vraiment! Depuis plusieurs jours qu’on nous promet de la neige et qu’on ne récoltait que quelques flocons qui s’écrasaient au sol et disparaissaient, aujourd’hui le ciel est lourd de milliers de flocons de neige qui virevoltent et tourbillonnent avant de blanchir les toits, les arbres et le sol…
Cette année, Noël sera blanc, ou en tout cas je l’espère de tout cœur!
Un thé pour souffler
L’hiver arrive…
Enfin l’hiver arrive à petits pas. Voilà deux jours que lorsque je sors de chez moi le matin, le froid piquant vient me chatouiller les narines. Les gants deviennent indispensables, ainsi que le baume pour les lèvres.
Je viens de voir qu’il est même prévu qu’il neige mercredi.
Enfin un temps qui annonce Noël…
Bientôt Noël…
Encore quelques décorations de Noël, à côté desquelles je passe tous les jours…
Rammstein en concert
Hier soir, c’est totalement fébrile, que peu avant 18h nous sommes arrivés devant Bercy. Il y avait déjà pas mal de monde devant les portes. Nous nous sommes glissés dans la file d’attente et avons patiemment attendu. Nous avons été très surpris par le public de Rammstein: des jeunes de 15-16 ans, beaucoup de jeunes de 20 à 35 ans et puis pas mal de personnes plus âgées et même des familles entières.
Peu avant l’ouverture des portes, il s’est malheureusement mis à pleuvoir. Heureusement, nous avions tous les deux une capuche, mais pas de parapluie. C’est bien mouillé que nous nous sommes finalement installés dans la salle, pile en face de la scène. Nous avons hésité à descendre dans la fosse, mais finalement notre place dans les gradins était parfaite!
La première partie était consacrée à Combichrist, un groupe finlandais que je ne connaissais pas du tout. C’était plutôt pas mal, ca bougeait bien, mais la salle était vraiment très molle. Je me suis prise à penser que j’espérais que lorsque Rammstein arriverait sur scène l’ambiance se réveillerait…
Et vers 21h, lorsque Rammstein est entré en scène, en abattant le mur du fond de la scène à coup de hache sur les premières notes de Rammlied, le public s’est d’un coup réveillé. Le concert a été géant. C’est vraiment des bêtes de scènes, des fous, notamment Flake qui a passé une bonne partie du concert sur un tapis roulant à courir tout en jouant… J’adore!
Maintenant, il n’y a plus aucun doute, je sais pourquoi je suis si fan!
Concert
Ce soir, nous allons voir le concert de Rammstein à Bercy…
Un évenement que j’attends depuis des mois, et même des années si on sait que Rammstein est mon groupe favori depuis plus de six ans et que je n’ai jamais eu l’occasion d’aller voir un de leur concert!
Je vous raconterai demain!
Une matinée agitée
La fin de ma semaine aura été agitée.
Samedi matin, dans le métro, sur le chemin du travail, un petit malin n’a rien trouvé de plus drôle que de s’amuser à bloquer la fermeture des portes à chaque station.
Résultat: un chauffeur de plus en plus énervé qui a fini par hurler dans le micro de « lâcher les portes » – mais bien évidement, ce fut vain – et dix minutes de retard pour moi.
Voyant dangereusement arriver mon retard, j’ai d’ailleurs tout de suite appelé ma responsable pour la prévenir: « Ne t’inquiète pas, me dit-elle, on n’est pas près d’ouvrir la boutique, on a été cambriole cette nuit ».
Lorsque finalement j’arrive au travail, l’expert qui a relevé les empreintes vient de quitter la boutique – Et zut! J’ai loupé Grissom! – et la police arrive quelques minutes plus tard.
Entre le va-et-vient des uns et des autres, l’évaluation des dégâts, le nettoyage et le rangement, et l’attente d’une autorisation pour rouvrir la boutique au public, c’est toute la matinée qui est passée. Mais bon, on ne va pas se plaindre, parce que finalement les cambrioleurs auraient pu saccager toute la boutique, ce qu’ils se sont heureusement abstenus de faire!
Dans l’après-midi, en revenant du commissariat, ma responsable nous a rassuré: trois autres boutiques de la rue ont été cambriolées cette nuit-là… On s’est tout de suite senti moins seuls…
Les journées qui commencent comme ça, je ne sais pas pourquoi, mais je ne les aime pas!