Adoption en prévision

Depuis quelques temps, mon Coeur et moi, réfléchissons à adopter un petit compagnon pour notre petite todonne, Dolly.

Après mûres réflexions, afin de savoir si elle s’habituera à vivre avec un compagnon, nous avons choisi de ne pas lui acheter un autre octodon. C’est elle la petite princesse à la maison et elle se sentirait trop frustrée de devoir partager sa belle et grande cage. Voilà plus d’un an qu’elle en a pris l’habitude.

Nous avons donc décidé de lui offrir un ami qui vivrait dans sa propre cage mais que l’on pourrait laisser courir dans l’appart afin de les mettre en contact de temps en temps. Nous avons pensé à un cochon d’inde – j’en ai déja eu plusieurs – ou un lapin nain – j’en ai aussi déja eu un.

Nous avons un peu fait le tour des animaleries parisiennes ces derniers temps et force est de constater que l’état de la plupart des animaleries parisiennes et de leurs animaux est catastrophique. Le prix des animaux est exorbitant – jusqu’à 180 € pour un cochon d’inde qui a déja l’air malade alors qu’on en trouve à moins de 20 € et en bonne santé en province – et leur état est plus qu’alarmant. Je pense tout particulièrement à la plupart des animaleries qui se situent le long des quais de la Seine au centre-ville. C’est affolant.

J’y suis déja allée à différents moments de la journée et de la semaine, parce que j’ai dû trouver de quoi nourrir ma todonne – et c’est pas évident à Paris, on ne connaît quasiment pas les octodons! -et c’est toujours pareils: odeurs d’animaux morts dans les magasins, sans compter l’odeur des cages sales, animaux malades – plus de queue, tumeurs, yeux qui coulent, éternuement… -, les vendeurs qui n’y connaissent rien – par curiosité j’ai posé quelques questions auxquels on n’a mal ou pas répondu. C’est une honte!

La semaine dernière, nous avons enfin trouvé deux animaleries où les animaux avaient l’air en forme et où le vendeur savait de quoi il parlait: l’animalerie de Truffaut, quai de Bercy et Animalys dans Bercy-village. Nous y avons trouvé les informations que nous cherchions concernant les lapins nains et les cochons d’inde, le vendeur savait ce qu’était un octodon et ce qu’il avait le droit de manger ou non. Nous avons donc observé les cochons d’inde et les lapins nains. Après réflexions, nous nous sommes décidés pour un petit lapin nain.

Nous adopterons donc bientôt un jeune lapin nain – le plus jeune possible, 2 mois dans les animaleries – ou plutôt une petite lapine – parce que les mâles qui marquent leur territoire sentent plus fort, attention c’est l’inverse chez les cochons d’inde – afin que Dolly ne soit plus seule. Il aura sa cage à lui mais nous l’éduquerons pour qu’il soit propre et qu’il puisse se promener dans l’appart tout au long de la journée sans danger. Mais pour ça, il nous faut d’abord déménager dans un appart un peu plus grand…

J’ai hâte!