[Education] Transformer l’absence en souvenirs

Nous sommes rentrés de notre voyage au Japon en famille jeudi soir tard. Dès vendredi matin, Papa Lou est parti en train pour les montagnes jaunes afin de vivre son expérience auprès d’une famille de producteurs de thé.

Papa Lou est régulièrement en déplacement. Pas trop souvent, mais assez régulièrement. Je suis rarement absente, mais c’est tout de même arrivé l’une ou l’autre fois, notamment lors de mon week-end de team building dans les montagnes Anji ou lors de ma fantastique expérience dans un village de producteur de thé. Et dans quelques jours, ce sera au tour de Little Miss Sunshine de nous quitter pour quelques jours pour la première fois à l’occasion de son premier voyage scolaire. 

Et j’ai noté ce week-end, que nous avions finalement la même manière de répondre à ces absences, Papa Lou et moi. Nous avons envie de créer de beaux souvenirs à trois avec nos enfants, et de ne surtout pas nous focaliser sur l’absence de l’autre. Son absence pour le week-end m’a inspiré une photo sur Instagram qui vous a beaucoup parlé aussi. Alors je me suis dit qu’il serait intéressant de développer mon point de vue ici dans un article. 

Ces moments d’absence sont des moments un peu hors du quotidien que nous voulons leur créer. Nous nous efforçons de toujours faire des choses inhabituelles. Rien de bien compliqué à mettre en place, mais des petites choses qui font plaisir, qui créent et ancrent des souvenirs d’enfance. Le but étant vraiment de ne pas se focaliser sur l’absence, le manque, mais de créer des moments privilégiés dans une autre configuration. L’absence de l’autre nous fait de toute manière sortir du quotidien, de nos habitudes, de notre train-train, donc la meilleure façon d’en profiter et de ne pas se morfondre est de surfer sur la vague. Ca fait du bien aux enfants et au parent qui reste seul à s’en occuper. 

Assez naturellement, nous nous sommes par exemple retrouvé à dormir tous les trois ensemble dans le lit parental lorsque l’un des parents est absent. Ainsi, la plupart du temps, quand Papa Lou est absent ou que je suis absente, les enfants dorment dans notre lit. Et c’est toujours un plaisir pour eux… même si l’endormissement est souvent un peu plus tardif du fait de l’excitation. 

Quand l’absence a lieu un week-end, c’est souvent pour nous l’occasion de faire ce que nous appelons « une soirée pyjama ». A savoir que nous installons les matelas au sol dans le salon devant la télévision et que nous nous endormons tous ensemble devant un film. Cela provoque également un chamboulement le lendemain matin, alors que certains dorment encore – souvent Little Miss Sunshine – nous prenons le petit-déjeuner dans la salle de jeux pour éviter de les réveiller. 

Encore plus simple, c’est l’occasion de préparer un repas que l’absent n’apprécie pas forcément, d’écouter de la musique que l’absent n’aime pas beaucoup, de faire des choses qu’on ne fait pas habituellement – les enfants se retrouvent souvent assis sur la table à m’aider à préparer le repas du soir, alors qu’ils ne montent habituellement pas sur la table pour m’aider -, un bricolage sur un thème qui nous tient à coeur pendant l’absence,… Les repères sont remis en question, on sort de notre zone de confort et on découvre de nouvelles manières de faire. Ca fait également du bien aux enfants qui voient qu’on peut faire différemment, que Papa ne gère pas comme maman, mais que ça fonctionne tout aussi bien. 

Et ça fait un bien fou de remettre les habitudes en question… On est d’autant plus content de revenir aux vieilles habitudes ou de les changer… 

Et chez vous, comment ça se passe quand l’un des parents ou des enfants est absent? 

[Education bienveillante] Rituel du matin

Dans la famille Kangourou, il n’y a que Papa Lou qui soit du matin, et encore ça dépend des matins! Que ce soit moi ou Little Miss Sunshine, nous aimons faire durer le temps sous la couette au maximum. Alors avec l’entrée à l’école, s’est posée la question de notre rituel du matin à changer afin de tenir les horaires.

Il était impensable pour moi de la bousculer. Nous avions eu plus d’un an le temps de prendre notre temps, de passer de longues minutes sous la couette pour le câlin du matin, je ne voulais pas bouleverser ces habitudes ancrées. Depuis le début du mois de janvier, après plusieurs semaines de tâtonnements, nous avons trouvé notre rituel du matin.

Les horaires de Little Miss Sunshine nous permettent une vraie ritualisation puisque du lundi au vendredi matin, le rituel et les horaires restent inchangés. Le week-end, nous ne nous levons jamais bien tard – entre 8h et 9h – mais ça nous permet tout de même de récupérer un peu de sommeil.

  • Tout commence par le réveil qui sonne à 6h45. Je me laisse toujours au moins 5 à 10 minutes pour sortir du lit. Je me connais. Je réveille Papa Lou s’il n’est pas déja réveillé, puis je tente un premier réveil de Little Miss Sunshine.
  • Je me lève et profite de la tranche horaire de 7h à 7h15- 7h20 pour préparer le petit déjeuner de tout le monde et me préparer moi-même. Je fais plusieurs aller-retour dans la chambre pour faire des câlins à Little Miss Sunshine et par la même occasion la réveiller, jusqu’au moment où elle sort elle-même de la chambre et s’installe sur le canapé. Papa Lou se prépare en parallèle pour partir travailler.
  • Depuis notre retour du Japon, Little Miss Sunshine ne prend plus de lait, mais me réclame un bol de riz avec de la sauce soja, des graines de sésame et des algues pour le petit déjeuner. Je prépare donc le riz le soir au cuiseur et ma première action le matin est de mettre le cuiseur en réchauffe pour que Little Miss Sunshine puisse manger son riz chaud.
  • On s’installe tous ensemble à la table du petit déjeuner de 7h20 à 7h30 – 7h40. Nous papotons, prévoyons le planning de notre journée, prenons notre petit déjeuner en famille. Papa Lou est le premier à nous quitter. Tout de suite après ce moment en famille.
  • Little Miss Sunshine a alors de 15 à 20 minutes à elle, pour, selon son humeur, rester allonger sur le canapé et terminer de se réveiller, chanter et danser au son de la musique qu’elle me réclame, jouer dans sa chambre, me réclamer une ou deux histoires… C’est parfois un temps qu’elle utilise pour jouer tout en étant assise sur son pot également. Je continue mon petit déjeuner en gardant un oeil attendri sur Little Miss Sunshine. Ce temps « d’occupations libres » me paraît tout à fait indispensable pour les enfants le matin
  • A 7h50, il est temps pour Little Miss Sunshine de s’habiller. A ce stade, il nous reste 15 à 20 minutes avant l’arrivée du bus. Suivant les matins et ses propres choix, elle s’habille plus ou moins seule. Les habits, le sac d’école, les chaussures sont prêts depuis la veille. On a juste à choisir le doudou qui l’accompagnera pour sa sieste du jour et à mettre sa tétine dans la boite prévue à cet effet dans son sac. On termine par le lavage des mains, le brossage des dents et le nettoyage de la moustache.
  • Vers 8h05 – 8h10, mon téléphone sonne. C’est l’Ayi de l’école qui me précise qu’ils arrivent avec le bus. Le temps d’enfiler son manteau et ses chaussures et Little Miss Sunshine est prête pour le grand départ.
  • Départ du bus au pied de notre immeuble entre 8h10 et 8h20 après un dernier gros câlin. Nous profitons du temps qu’il nous reste une fois descendu, si le bus n’arrive pas tout de suite, pour nous faire des câlins, parler du futur petit frère ou chanter des chansons.

Bien sûr, ce rituel ne fonctionne pas à la perfection tous les matins. Certains sont plus difficiles que d’autres. C’est notamment le cas lorsque Little Miss Sunshine a du mal à se coucher le soir. Le réveil est d’autant plus difficile. Ma solution depuis quelques semaines, lui proposer de mettre de la musique qu’elle aime: la B.O. de Mon voisin Totoro, les comptines pour danser, ou la fameuse chanson de Baloo dans le livre de la Jungle « Il en faut peu pour être heureux! » et en règle générale ça fonctionne aussi bien pour la sortir du lit que pour la motiver à partir à l’école. La musique est entrainante, elle donne envie de chanter et de danser et c’est bien assez pour mettre de bonne humeur toute la famille malgré un réveil difficile 😉

L’autre moment un peu tendu certain matin, c’est le moment du coup de téléphone qui sonne la fin du temps que nous passons toutes les deux. Je ne sais pas si c’est liée à ma grossesse ou pas, mais certains matins, Little Miss Sunshine refuse alors de me quitter et se met à pleurer. C’est plus souvent des matins où elle sait qu’elle aurait sa maîtresse chinoise, mais ça peut aussi arriver certains matins avec sa maîtresse française. Ne me reste alors plus qu’à accueillir ses émotions, à lui faire comprendre que je suis à son écoute, que je comprends son appréhension à me laisser seule toute la journée, mais que pour elle c’est l’heure d’aller à l’école, de retrouver ses copains-copines et de s’amuser. C’est rare que je la quitte et qu’elle pleure encore. Même si c’est déja arrivé. La plupart du temps quelques douces paroles et un gros câlin suffisent à la rassurer.

Ce qui me rassure profondément, c’est que le soir, la plupart du temps, elle me saute dans les bras en sortant du bus et en me disant: « Maman, j’ai passé une super journée! » Et de poursuivre avec l’histoire de machin qui a fait si, de la maîtresse qui a dit ça, ou l’explication détaillée de leur repas de midi ou de leur atelier du jour.

Le matin, nous prenons donc 1h30 pour nous réveiller et nous préparer. Un temps qui me semble actuellement indispensable pour la bonne humeur de tous!  

Et chez vous le matin, ça se passe comment? 

[Vivre en Chine] Ses habitudes chinoises que j’ai déja adopté

Je vous ai déja parlé de ses habitudes chinoises auxquelles j’ai bien l’impression que je ne me ferai jamais, alors laissez-moi cette fois-ci vous parlez des habitudes chinoises que j’ai dors et déja adopté.

Car vous l’aurez deviné, mais il y a plein de choses qui nous plaisent énormément ici… La vie d’expat a justement ça de bon que l’on peut découvrir les us et coutumes, les habitudes du pays progressivement, mais sur une longue période et donc les expérimenter par nous-même.

Voici donc une liste d’habitudes, non-exhaustives, que nous avons déja adopté:

  • Le cuiseur à riz

Nous avions déja un cuiseur à riz à Paris. C’est vrai. C’est nos séjours au Japon qui nous avaient convaincu à l’époque. Mais le choix des cuiseurs à riz est vraiment très restreint en France. Ici, il y en a des dizaines de sortes, que dis-je des centaines. Dans toutes les grandes surfaces, on fait des démonstrations de leur capacité. Et en plus ils sont énormes.

Papa Lou en a acheté un bien avant que nous n’arrivions à Shanghai, Little Miss Sunshine et moi. Il convient pour six personnes et propose aussi bien la cuisson du riz que la cuisson à la vapeur. Depuis que nous sommes en Chine, nous ne mangeons plus de riz qui ne soit pas préparé dans le cuiseur. Déja parce que c’est super pratique. Une fois le riz lavé et rincé, on verse un pot de riz par personne pour un pot et demi d’eau et on laisse cuire un peu plus d’une trentaine de minutes pour du riz blanc. La cuisson est certes un peu plus longue que notre fameux riz « 10mn » en France, mais le riz en est bien plus savoureux et surtout on peut le préparer bien à l’avance et le laisser au chaud jusqu’à l’heure du repas

IMG_7372.JPGComme le cuiseur fait aussi office de panier vapeur, on peut y cuire les raviolis, les légumes pour la soupe ou les purées… Et c’est vraiment très pratique! Voilà bien une habitude que je ne suis pas prête d’abandonner même si nous rentrons un jour en France!

  •  La tasse nomade

En Chine, tout le monde se promène avec sa tasse nomade à la main. Que se soit les gens qui travaillent dans les bureaux, les chauffeurs de taxi, les médecins, les mamans qui se promènent avec leurs enfants, tout le monde a sa tasse à la main. Le plus souvent, il s’agit d’une tasse en verre à double paroi qui se referme avec un bouchon hermétique et qui possède un petit filtre pour faire infuser du thé ou des plantes. Mais il peut aussi s’agir d’une tasse en plastique ou en métal avec un système isotherme plus ou moins développé. Où que l’on soit, dans un restaurant, dans une maison de thé, au travail, il y a toujours quelqu’un pour nous remplir notre tasse d’eau chaude tout au long de la journée. Il suffit donc de trouver ce qu’on a envie de boire chaque matin et de le laisser infuser…

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A noter que les Chinois boivent énormément de tisanes. Ils font infuser toutes sortes de plantes et de fleurs dans leur tasse nomade.

  • Le bateau à thé

Voilà encore une chose que nous avions déja à Paris. Mais nous n’en avions pas le même usage et pour cause! Les bateaux à thé ici sont d’une taille bien plus importante que ceux que nous trouvons péniblement en France. Ils sont également pourvu d’un système de siphon qui permet aux excédents d’eau de disparaître dans un seau caché sous la table. Tous les bateaux à thé que l’on achète ici son muni de ce système particulièrement pratique. Miraculeusement, il n’y a plus jamais d’eau partout sur la table quand Papa Lou prépare son thé du matin 😉

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Je trouve ça tellement pratique que nous allons investir dans un deuxième bateau à thé pour notre salle de thé/bibliothèque/bureau. Oui, oui… Il faut que je vous parle de ça aussi un jour…

  • Traverser la route n’importe où

En Chine, les routes sont dangereuses.  Ou en tout cas, elles paraissent plus dangereuses qu’en France à l’oeil d’un nouvel arrivant. Quelles soient effectivement plus dangereuses, je ne le pense pas. Mais il faut bien comprendre qu’un Chinois ne réfléchit pas comme un Français. Que l’anticipation, il ne connaît pas. Que celui qui va le plus vite est toujours celui qui passe devant, même si le feu est vert pour le piéton. Que leur but est de passer devant par tous les moyens. Il faut aussi savoir qu’il y a une tolérance pour tourner à droite. Ce qui signifie en gros que quelle que soit la circulation et la couleur du feu celui qui tourne à droite en arrivant dans la circulation y entre quoi qu’il arrive. Piéton ou pas. Voiture ou pas. Vélo ou pas. Une fois qu’on a compris ses principes de bases, on peut circuler facilement. Toujours regarder les voitures, vélos, motos, scooters qui viennent de droite. Ah! Et puis ceux qui viennent à contre-sens aussi. Et ceux qui font demi-tour sans se soucier de la circulation aussi… Bref, une fois qu’on a l’oeil, on peut traverser une quatre ou une six voies assez facilement. Puisque finalement, ce n’est pas plus dangereux que de traverser à un feu piéton vert que personne ne respecte. Seul impératif: laisser passer ceux qui veulent passer. Et puis au bout de quelques mois, ça me semble même moins dangereux que de traverser à Paris parfois…

Il y a certainement d’autres habitudes chinoises que j’ai déja adopté et dont je ne me rends peut être même pas compte. Notre retour en France pour deux semaines me permettra certainement d’approfondir cet article…

[Vivre en Chine] Ses habitudes chinoises auxquelles je ne me fais pas

Voilà un peu plus de deux mois que nous sommes installés en Chine. La première phase d’observation étant passée, je peux maintenant vous parlez de ces petites choses auxquelles je n’arrive pas encore à me faire…

La première et certainement la plus insurmontable pour moi, ce sont les crachats. Les Chinois ont pour habitude de ne pas garder à l’intérieur ce qui les gênent et de le laisser / le faire sortir. C’est vrai pour tout… Mais quand ils se mettent à se racler la gorge avec insistance avant de faire sortir un énorme crachat, juste à mes pieds, je ne peux m’empêcher d’être dégouté. Le pire étant qu’ils crachent aussi bien dans la rue, que dans les bus, dans le métro et même dans les magasins. Les plus polis / civilisés d’entre eux crachent dans la poubelle, comme c’est souvent le cas dans les magasins, le métro ou sur le lieu de travail. Mais il n’empêche… Quand j’entend quelqu’un se racler la gorge derrière moi, que je me retourne pour éviter de me faire cracher sur les pieds et que je me retrouve face à une très jolie jeune fille chinoise, la vingtaine, avec une mini-jupe et des talons aiguilles, je me dis que décidément, je ne m’y ferai jamais. Et je ne vous parle pas du taxi qui se racle le fond de la gorge pendant cinq minutes avant de cracher par la fenêtre sur l’autoroute…

Les deux choses suivantes se rejoignent un peu. C’est liée à la foule. Vous le saviez déja, mais je l’expérimente depuis quelques semaines, les Chinois sont nombreux! Quand on se retrouve dans une file d’attente, que ce soit à la caisse, à l’aéroport, pour visiter un lieu public, ils ne peuvent pas s’empêcher de se coller à vous et d’essayer par tous les moyens plus ou moins discrets – surtout moins en fait – de vous dépasser. C’est un vrai sport national. Ils ne sont absolument pas capable d’attendre leur tour. Et encore moins de respecter un minimum d’espace vital entre les individus. Les gens qui attendent derrière vous se collent littéralement à vous. Quand l’attente dure quelques minutes, c’est plus que gérable. Quand on passe à plusieurs heures, ça devient vraiment très angoissant…

La quatrième chose n’est pas que l’apanage des Chinois, je pourrais en dire autant des Italiens, mais qu’est ce qu’ils parlent fort. Qu’ils soient au téléphone, dans la rue, dans le hall de l’immeuble, sur le palier, dans une file d’attente, ils s’apostrophent de loin, se lancent dans des conversations agitées, dont on ne sait jamais comment elles vont se terminer – est-ce qu’ils vont vraiment en venir aux mains ou est-ce qu’ils sont juste entrain de discuter? Dans les transports en commun, c’est souvent au téléphone qu’ils sont les plus bruyants. Dans les files d’attente, ils se hurlent dessus parce qu’ils se dépassent. Ce qui n’empêche pas celui qui vient de se faire dépasser et de hurler sur celui qui venait de le dépasser, de dépasser à son tour…

Autre chose, qui a plutôt tendance à me faire sourire, ce sont les feux d’artifices. Les Chinois adorent le bruit. Ca klaxonne, ça crie, ça fait claquer des feux d’artifices à la moindre occasion. Là où ça devient bizarre, c’est que le plus souvent les feux d’artifices sont tirés en pleine journée. Et non, il ne s’agit pas de pétards, mais bien de feux d’artifices. On ne voit pas les couleurs, à peine les éclats scintillants… Vraiment je ne comprend pas. Et puis, ils sont capable, pour l’ouverture d’un magasin, de bloquer une grande rue (3×3 voies) en faisant claquer des feux d’artifices en plein milieu en heure de pointe en plein bouchon. Ca claque, ça klaxonne,… Quel tintamarre! C’est sûr que je n’avais jamais vu ça ailleurs 😉

D’autres choses vont certainement encore me venir en tête une fois cet article publié. J’y apporterais donc régulièrement des modifications. Et puis je vous réserve aussi un article spécial sur les habitudes très particulières des Chinois sur la route…